On pourrait emprunter à Il était une fois son célèbre « Je l’ai rêvé si fort que les draps s'en souviennent ». Dans une esthétique inspirée d'Edward Hopper, le clip d’Egon raconte la solitude, les irrépressibles envies de chair et de corps brûlants. Au centre de ce tableau, il y a une femme qui malgré le fait qu’elle soit en couple, est en manque d'amour charnel et de plaisir. Alors, elle le rêve et se le procure seule. C'est l'histoire d'une femme qui assume son désir.
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